Ingval Reinforce

Nom : Ingvalt
Prénom : Reinforce
Âge : Age réelle inconnue. Depuis son réveil : 16 ans
Race : Fée/Sang céleste (ou alors ayant la même signature).
Sexe : Féminin
Rôle : Magicienne itinérente.
Alignement : ???
Nombre de lignes que vous devez faire au minimum: 15

Histoire :

Bonjour cher invité. Bienvenue dans mon antre. Je vais vous raconter une quatrième histoire qui a absolument un lien avec deux autres. Bien que dans celle-ci, je n'aurais pas grand chose à dire de moi-même.

La seul personne d'importance ne figure malheureusement parmi nos Archives des Histoires. Aucune information ne pourra donc être donné à ce sujet. Mais il réapparait ailleurs dans deux autres de mes histoires.

La dernière chose dont je me souviens fut une main grisâtre et ridée diriger vers moi et ces quelques paroles qui furent dites sur un ton faussement malheureux :

-Il semblerait que j'ai échoué cette fois-ci. Dommage, mais heureusement que tu n'es pas la seul dans mon viseur. A jamais. Hmhmhm.

Puis après, le néant totale. Je me réveillais finalement un temps indéterminé après ceci. Je me regardais pour savoir à quoi je pouvais bien ressembler. En effet, même mon propre physique m'était désormais totalement inconnue. J'avais une peau légèrement bronzé et sans aucune imperfection si ce n'était une mince coupure qui commençait au niveau de mon avant bras et était en forme de triangle avec des cercles à chaque extrémité. Peut-être une blessure que je m'étais moi-même infligé. A moins que ce ne soit une quelconque marque de mon appartenance à quelque chose avant ma perte de mémoire. Mes cheveux, qui étaient détachés, étaient de la couleur de l'azure comme le Lapis-Lazuli. Ils étaient suffisamment longs pour m'arriver un peu au-delà de mon fessier. Ils étaient coupés en triangle à la toute fin. J'avais aussi quatre ailes de libellule dans mon dos. Le peu de connaissaissance qui me restait me permettait de dire que je devais probablement être une Fée. Pour ce qui était de mes vêtements, j'avais un haut blanc qui s'arrêtait au niveau de mon nombril, juste sur mes épaules et avec un col relevé. Il avait des ouvertures au niveau de mes ommoplattes pour permettre à mes ailes de pouvoir se mouvoir librement. Ce vêtement avait un système de fermeture étrange. Les deux bords du milieu qui descendaient tout droit avant de bifurquer vers la droite, continuer tout droit, puis revenir en face du premier bout droit avant de le suivre dans l'axe jusqu'au bout. Le système de fermeture était fait grâce à deux attaches un acier caché des regards par forme, pour un total de dix en tout puisqu'il y avait cinq formes au total. Sinon, une barrette décorative couleur or ornementait la deuxième forme. Un short blanc en triangle qui m'arrivait légèrement plus bas que mon entre-jambe. Une sorte de demi-cape blanche elle aussi qui prenait place sur mon short et qui s'arrêtait juste avant mes pieds. Les bords de mes vêtements étaient agrémenté d'un morceau de tissu noir. J'étais chaussé de botte blanche qui m'arrivé jusqu'à mes genous. Je regardais derrière moi puisque je sentais un poids dans le bas de mon dos et je le vis. Un livre étrange attaché avec des lanières de cuir brune sur ma demi-cape et dont le nom me vint aussi naturellement que le mien : le Livre de la Glace Nocturne, que j'abrégeais en LGN pour faire bien plus court. Sa couverture était de la même couleur azuré que mes cheveux. Et sur la face avant se trouvait une croix couleur de l'or dont la pointe la plus longue était dirigé vers le haut qui prenait le centre du livre. Au milieu de cette croix se trouvait un magnifique Lapis-Lazuli et à chaque extrémité de cette même croix était gravé une croix avec la pointe la plus longue dirigé vers leur propre extrémité. Un cercle aussi couleur de l'or, partant de l'extrémité la plus longue de chaque pointe gravé pour les trois plus courte pointe se trouvant sur le livre, entouré une le milieu de la croix principale. Les extrémité du livre était entouré de quatre L couleur or finie en pointe dirigé dans le même sans que la croix principale avec un espacement suffisant pour faire comme si les pointes de la croix principale pouvait passé en entier.

Je m'attardais ensuite à regardé l'environnement dans lequel je me trouvais. Les herbes étaient anormalement hautes, de même que les fleurs. Je me levais tellement rapidement que je me sentis vascillée. J'entendis alors un bourdonnement intense derrière moi, pas loin de l'endroit où je me trouvais. Inquiète, je fis lentement demi-tour et j'eu la retenu nécéssaire pour ne point hurlé de peur face à ce que je vi. Une énorme abeille était en-train de butiné le polen d'une fleur de couleur bleu. C'est alors que la vérité m'attégnis de plein fouet sans crié garde. Il était normale que la nature hautour de moi me paraissait anormalement grande puisque j'étais toute petite, à vus d'oeil, je dirais que je faisais seulement dix-sept centimètres et demi. Comment cela pouvait-il donc être vrai ? Comment pourrais-je donc voir le monde vus mon infime taille ? C'est alors que j'eu enfin concience que j'avais des ailes dans mos dos et que ceux-ci, sauf si ils étaient endommagé bien entendu et je ne le voulais très certainement pas puisque cela ne m'aurais fait que désespéré encore un peu plus, pouvaient me permettre de voler à une certaine altitude. Je les dépliaient donc puis je me mis à esseyé de les faires battre pour l'évité grâce à eux. Les premier essai furent non-concluent puisqu'il y avait toujours un déréglement de vitesse et de temps de réaction entre chaque ailes. Ce ne fus qu'après une vingtaine d'essai infructueux, épuisant et héroique que je parvins enfin à décoller du sol convenablement. Malheureusement pour moi, la malchance sembler être pour me mettre des difficulté croissantes sur ma route puisque je sentais quelque chose venir m'assomé par derrière. Le coup, très violament ressantis par moi au vus de ma minuscule taille, était l'oeuvre de quelqu'un. Pas de quelque chose mais bien de quelqu'un de vivant, un bipède telle un Humain ou similaire au vu de ce que j'avais pu ressentire. Lorque je me révaillais pour la deuxième fois, je vis que j'étais dans une petite cage en bois finnement sculptée. Etre mis dans une cage à moineau sans cervelle m'énervé au plus haut point. Ce n'était pas parce que j'étais très petite qu'il fallait faire ça, non ? Ce fus à ce moment-là que je développa une certaine "indigestion" par rapport au fait que j'avais une taille très insinifiante. D'ailleurs, je préférais substitué le terme petite fille au terme d'insinifiante que je considéré comme une insute gravissime dans mon échellon personnelle des choses à ne surtout pas faire vis-à-vis de ma personne, que ce soit physique ou bien morale. Me prendre dans sa main et me serré en faisait aussi partit, et la personne qui venait de me faire sortir de cette cage ridicule venait justement de faire un telle geste. Je regardais donc ce malautru avant de me ressaisire sans ce soudain changement. Cette petite malautrue, puisqu'il sagissait bel-et-bien d'une jeune fille dans la vingtaine probablement. Celle-ci était parée de vêtements noirs, faisant fortement contraste avec les miens qui étaient d'un blanc immaculés. Elle s'adraissa alors à moi d'un ton dure, mais paradoxalement emplie de gentillesse. Pou ma part, je la regardait avec des yeux emplie de rage, conséquence de l'atteinte à ma dignité que je venais de subir :

-Désolé de t'avoir aussi violament frappé, mais il faut que nous nous entrédions si nous voulons survivre. Toi, tu risque d'être capturé et de devoir enduré un certain nombre de chose fort peu agréable. Pour ma part, je risque de ne plus pouvoir me nourrir. Et comme je suis rejeté par la population locale, je risque la mort et tu me suivra très rapidmeent puisque les habitent d'ici sont très superstitieux par rapport à différent conte de bonne dame. Alors, que décidé-tu, jeune demoiselle ? Par ailleurs, qu'elle peut bien être ton identité ? Tu t'en souviens au moins ? Je ne pense pas t'avoir frappé suffisament fort pour te faire perdre ne serait-ce même qu'un peu de ta mémoire, même au vus de ta taille et de ta constitution de Fée.