Présentation de Ariya Lowell, l'Aigle du désert

"Deuxième personnalité" : BRS
Entité maléfique : Chaos
Prénom fantoche de Chaos : Ariya/Cyntia selon certaine choses qu'elle seule décide.
Entité mystérieuse et encore inconnu jumellé avec Chaos : Miku
Nom : Lowell
Nom fantoche : Irianeth
Sexe: Féminin
Âge: 10 ans
Alignement Ariya/BRS: Le néant a-t-il un alignement.
Alignement Chaos : La gentillesse incarné et prend un immense plaisir à le repandre partout où elle passe.
Alignement Miku : C'est là un mystère supplémentaire à résoudre sur elle.
Race: Mi-Humaine, mi-Fée
Origine: Rubis
Rôle: Elève d'Irianeth pour Ariya et Chaos, mais totalement inconnue pour Miku/BRS.
Nombre de lignes que vous devez faire au minimum: 7

Vous voulez que je vous dise cette histoire ? Est-ce que vous êtes vraiment sûr de vouloir que je vous la raconte ? Si vous le voulez absolument alors veuillez vous taire et laisser moi vous racontez cette histoire. Mais avant cela, il faut que je vous raconte celle de ces parents. Saphora, une fée dotée de particularité loin d'être plaisante et anodines et Rayner Lowell, un humain dont le passé la rendu étonnamment servile avec sa bien aimé. Je vais donc commencé par la personne qui façonnera la petite Ariya, sa mère : Saphora puis j'écrirais, après qu'il se seront rencontrés l'histoire de Rayner et ce qu'il en découlera.

Histoire des parents de Ariya Lowell.

Chapitre 1/Histoire de Saphora.

Saphora est une fée qui aurait dû être totalement banale aux yeux des autres fées. Mais il n'en fut malheureusement pas ainsi. Sa mère prénommé Andaraniel et son père Vassilios qui étaient tous les deux des fées à part entière la conçurent après s'être aimé. Malheureusement un problème qui fut impossible à éradiqué vint à attristé les nouveaux parents. Leur fille ne pouvait pas utiliser la magie, comme si elle était bloquée par quelque chose. Cela n'empêchait toutefois pas la Saphora d'être bien aimé par ses parents. Mais on ne pouvait en dire autant des autres fées qui la fuyaient de crainte qu'à son contacte elles ne puissent à leurs tours ne plus pouvoir utiliser la magie dont elles étaient naturellement pourvue. Cela créa pour la fillette un sentiment de répulsion vis-à-vis de la magie. Mais ça ne s'arrêta pas là, car lors de ses quatorze ans, elle allait voir avec ses parents le roi des fées pour savoir comment cela se faisait-il qu'elle n'avait toujours pas d'ailes. Après un bref, mais minutieux examen, le roi des fées leurs déclara qu'elle n'aurait jamais d'ailes et qu'il valait mieux qu'elle aille dans un endroit où elle pourrait être heureuse là où son royaume n'y pouvait rien. C'était une invitation à peine sous-entendue qui voulait dire qu'il fallait faire partir Saphora du Royaume des fées.

Elle fut donc officiellement chassée pour qu'elle cherche le bonheur autre-part. Mais en réalité, ils l'avaient fait sortir de leur royaume afin d'éviter que ce qui entravait sa magie ne se répande sur leur peuple et qu'ils ne perdent leurs magnifiques capacités. Elle erra donc durant cinq longue année au-cours desquelles elle cachait sa véritable nature de fée aux autres afin d'éviter des problèmes qui ne manqueraient pas de se poser. Au cours d'une halte d'en un village, elle vit un jeune homme avec une vieille dame et elle fut irrésistiblement attirée par le jeune homme. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait qu'il pourrait la rendre heureuse. Elle alla donc le voir et elle lui parla pendant un certain temps après l'avoir éloigné de la vieille dame. Il accepta sa demande et alla parlé à la vieille pimbêche qui lui servait de mère. Elle acceptait avec ravissement et leur souhaitait toutes les habituelles paroles que l'on peut entendre dans ce cas-là.

Chapitre 2/Histoire de Rayner Lowell.

Rayner Lowell quant à lui était né dans le royaume d'Emeraude. Sa mère Madelyn la conçu dans un élan d'amour interdit entre elle et un jeune garçon du nom de Rayner qu'elle aimait. Mais malheureusement pour elle, il était déjà promis à une autre fille du village depuis sa naissance et elle du partir pour un autre village afin de pouvoir cacher sa grossesse et créer un déshonneur pour le village et le jeune homme. Elle trouva donc un autre village et elle fit croire à ses habitants que son mari était mort sous les lances des guerriers-insectes d'Irianeth. Les villageois la prirent en pitié et lui offrirent donc une maison inhabité depuis le départ pour les grandes plaines de lumières de son ancienne résidente. Une très vieille dame qui était arrogante et méchante avec tout le monde. Elle semblait toujours avoir des choses à cacher. Mais maintenant que cette vieille sorcière du village était morte, cette maison lui appartenait et elle en était heureuse. Elle alla donc s'installer dans sa nouvelle demeure. Lorsqu'elle était en train de nettoyer, elle souleva un très vieux tapi par mégarde et elle révéla une entrer dans le sol couvert par une planche en bois qui semblait avoir été refaite il y a peu. Elle s'y engageait après un instant d'hésitation et elle y découvrit des pièces d'or de diverse époque et royaume ainsi que quelques trésors qui devaient normalement se trouver dans les chambres aux trésors des membres de la royauté. Elle su alors que la vieille dame qui habitait autrefois ici devait avoir rassemblé par un quelconque moyen qui devait très certainement être illégal toutes ces merveilles.

Elle enfantait finalement sept mois plus tard et elle fit en sorte que son garçon nouveau-né soit facilement influençable et qu'il soit une marionnette dont elle tiendrait les fils pour éviter qu'il ne laisse échapper quoi que ce soit sur le trésor dont elle disposait. Elle l'appella Rayner en hommage à son bien-aimé. L'accouchement avait malheureusement vieilli prématurément la jeune fille si bien que lorsqu'elle eu quarante ans et son fils vingt on avait l'impression de voir une arrière-arrière grand-mère avec son petit-fils. Ce fut lors d'une balade quotidienne dans les environ que Rayner rencontra finalement la personne qu'il allait chérir durant toute sa précoce existence.

Chapitre 3/Histoire du nouveau couple avant la naissance attendue, mais devenue maudite d'Ariya Lowell.

Après qu'ils eurent reçu la bénédiction de Madelyn la mère de Rayner, ils partirent vers la maison du jeune marié en compagnie de la mère qui voulait montrer quelque chose à la nouvelle marié. Lorsqu'ils furent en vue du village, Madelyn fit promettre à Saphora de ne rien dire de ce qu'elle verrait. Celle-ci acceptais intrigué et ils entrèrent donc dans la maison puis ils descendirent dans la cachette. Madelyn leur dit à ce moment de tout emporté secrètement, car elle n'en avait plus pour longtemps à vivre. Ils acceptèrent puis ils quittèrent la vieille pour toujours.

Ils s'installèrent à Rubis où ils se firent construire une imposante maison dans un terrain en hauteur grâce à leur trésor. Cette demeure était constituée de nombreux éléments. Un bâtiment centrale imposant qui prenait en longueur un tiers du terrain. Il était constitué de trois chambres toute à l'étage, une pour le nouveau couple, une pour leur enfant lorsqu'il sera suffisamment grand et une autre chambre pour un invité quelconque. Une cuisine permettait à Geoffrey de venir leur apporter leur déjeuné directement dans la chambre des mariés ou alors tout simplement de pouvoir préparer copieux un repas qui sera dégusté dans la salle du banquet. Sur sa droite quand on est en face à la porte d'entrer principale se trouvait un bâtiment contenant la chambre du majordome et une autre chambre à l'étage où l'on pouvait aller grâce à un escalier en colimaçon finement ouvragée, une cuisine, une salle pour manger et un hall au rez-de-chaussé. Il y avait aussi un magnifique jardin avec des puis un peu partout, mais placée de telle sorte que l'on avait l'impression de voir un V vue d'en haut.

Ils engageaient ensuite un serviteur qui leur étaient entièrement dévoués qui se nommait Geoffrey dont le dicton était : Un majordome ne doit pas être polyvalent dans tous les domaines qu'il peut maîtriser. Un majordome doit être la perfection incarnée dans tous les domaines qu'il peut maîtriser. Sa véritable identité, son âge, son royaume de naissance et même ses motivations réelles sont totalement inconnues. Les seules choses que l'on peut dire de lui était qu'il possède une peau légèrement grise ainsi que des oreilles encore plus longues et pointues que celle des elfes. Il possédait une barbe totalement blanche tailler en pointe qui rebiquait légèrement vers le haut. Une grande partie de son crane n'avait plus le moindre cheveux. Seule la partie arrière qui formait d'ailleurs un triangle qui commençait en demi-cercle avait des cheveux. Il possèdait des yeux mélangeant violet et noir avec un irrégulier cercle de couleur orange sombre à la limite entre la pupille et l'iris. Sa garde-robe était constitué d'un haut assez étrange. Ce haut était noir avec des boutons de couleur rouges pour ceux des manches et pour fermer le haut. Un col relevé qui est d'ailleurs assez haut vers l'arrière qui était noir à l'extérieur et rouge à l'intérieur. Il possédait aussi des gants totalement blancs faits dans une matière inconnue aux couples. Le bas était plus sobre et se constituer d'un pantalon noir en soi et de chaussures en cuir eux aussi noire. Le train-train quotidien et sans problème continua jusqu'à la naissance tant attendu de l'enfant qu'ils attendaient avec une impatience non contenue. Rayner savait que sa femme était une fée. Mais il était facilement influençable et c'est ainsi qu'il acquis lui aussi une rancoeur particulière envers la magie elle-même.

Histoire de Ariya Lowell, le coeur de glace éternelle et de Chaos, le coeur de glace sanglant.

Chapitre 1/La naissance bienheureuse d'une petite fille nommé Ariya et le premier choc.

La naissance de l'enfant une épreuve totalement nouvelle pour la mère puisqu'elle n'avait jamais accoucher auparavant. Par chance Geoffrey semblait tout connaître sur l'accouchement et il respectait bien le dicton qu'il s'était lui-même donner lorsqu'il avait été engagé par ses maîtres actuels. L'enfant fut nommé Ariya après une très longue liste de noms parfois totalement ridicule ou bien à caractère de nourriture. La fillette nouvellement né avait une peau très légèrement blanche, des yeux sans pupille apparente d'un magnifique, mais semblent irrièle bleu ciel. Sa tignasse apparut extrêmement tôt, seulement cinq jours seulement après qu'elle aille vu le jour et elle était elle aussi d'un très profond noir, mais malgré tout chatoyante. Elle fut mise dans la chambre qui lui avait été préparée dans le second bâtiment. Ce fut tout d'abord à Geoffrey de s'occuper du nouveau-né en attendent le rétablissement de la mère. Une fois que celle-ci fut enfin rétablie, Geoffrey leur expliqua patiemment comment s'occuper d'Ariya. Les trois premières se passèrent sans aucun problème majeur. Seule des maladies tout ce qu'il y avait de plus normales sont venues troubler la tranquillité du couple. Ce fut seulement lors de ses quatre ans qu'un événement allait radicalement changer une vie parfaite. En effet, ce qui révulsait à la fois la mère et le père se manifesta pour leurs plus grand désarroi.

A l'âge de ses trois ans, la petite Ariya fit lévité une assiette qu'elle était en train de faire tomber après s'être heurté au tapis de la salle à manger. Et c'est à cet instant précis que ses parents ouvrirent la porte pour voir comment aller leur petite fille adorée. Ce qu'ils firent les figèrent d'horreur pendant une seconde, seconde qui leurs parue interminable. Lorsque enfin ils retrouvèrent leurs aplomb, la mère se précipitait sur la fillette, l'empoignait avec force et quittèrent rapidement l'endroit où vivait leur majordome pour se rendre dans la chambre qui aurait dû être pour Ariya lorsqu'elle serait plus grande. La mère était dans un tel état d'hystérie que ce fut le père qui dû intervenir même s'il le fit avec trop de force. Il gifla son enfant et celle-ci fut envoyée contre un meuble, une coupure qui partait du bas du ventre à gauche jusqu'au-dessus de la poitrine à droite. Sous le choc, ils ne firent rien immédiatement. Ce fut Geoffrey qui avait suivi les parents paniqués qui a dû très rapidement intervenir pour éviter un quelconque problème de santé pour la gamine. Après quelque jour où ce fut le calme complet un nouvel évènement arriva.

Chapitre 2/L'utilistion déshordonné de la magie et surtout de l'art des illusions pour survivre.

A partir de là, moi, esprits éthéré qui a eu la chance d'avoir la charge de ses deux histoires va désormais faire place dès maintenant à la petite Ariya. Toutefois, j'interviendrai à certain moment, pour le savoir je commencerai après [Narrateur on] et je finirai avant [Narrateur off]. Entre ces deux-là, ce sera moi, sinon se sera Ariya Lowell puis le coeur de glace sanglant : Chaos, quand viendra le moment.

C'était une mâtiné comme les autres, je jouais alors tranquillement dehors avec des figurine finement sculpté en bois par Geoffrey près de l'escalier qui menait au bâtiment principale lorsque je trébuchais sur une pierre et que je fis dégringoler un vase d'un des rebords. Il se brisa avec un bruit aigu que mes parents ne manquèrent pas d'entendre. Lorsqu'ils ouvrirent la porte, je me dirigeais très rapidement vers l'endroit où je l'avais fait tomber mais à ma grande stupéfaction le vase était à nouveau sur le rebord. Ils virent que tout étaient on ordre et ils repartirent à l'intérieur. Lorsqu'ils fermèrent la porte de la maison, je sentis mes jambes se dérobaient sous moi et je m'effondrais. Je voulais toutefois en avoir le coeur nette et j'allais à l'endroit où le vase s'était écrasé. Il s'y trouvait toujours, je regardais alors là où un vase identique s'était tenu un instant plus tôt, mais il n'était plus là à mon très grand étonnement. Je ne pouvais le dire à mes parents, ils n'auraient pas manqués une occasion pareille de pouvoir m'infliger une nouvelle juste correction comme ils adoraient me le répéter souvent lorsqu'ils se devaient de me faire une punition soit-disant bien mérité. Je décidais donc par prudence d'aller voir Geoffrey puisque lui au moins ne se fâchait jamais avec moi sauf à de très rare occasion et que ce ne serait pas un vase brisé qui pourrait le mettre hors de lui. Il m'écoutais attentivement et une esquisse de sourire différente de celle qu'il nous offrait normalement vint se mettre sur son visage à la peau étrangement grisé. Il me déclara qu'il allait réparer cela et remettre à neuf et qu'en échange je ne devais parler de ce que j'ai vu à personne d'autre que lui et de l'avertir si d'autres anormalités comme celle-ci se reproduisait ailleurs. Je lui promis donc puis je l'amenais vers le lieu où j'avais cassé par inadvertance le vase. Il ramassait les débris éparpiller derrière l'escalier il puis retournait vers sa chambre. Il revint deux bonnes heures plus tard avec le vase comme neuf, même pas la plus infime trace de fissure qui n'aurait pourtant pas manqué de s'y trouvaient. Je lui demandais intrigué comment il avait pu faire un tel miracle. Il me sortait alors son habituelle dicton avec un sourire allié à un ricanement tout bonnement mystérieux. La journée continua sans aucun autre accident y compris ceux d'origines magique que je faisais en faisant lévité certain petit objet. Je n'étais pas en très grande forme et je m'écroulais dans mon lit pour pouvoir y dormir.

Le lendemain j'étais aussi, voir même plus fatigué que lorsque je m'étais couché hier soir. Je ne savais guère d'où cela venait, mais cela me faisait en énorme mal de crâne. Ce fut Geoffrey qui me vint me voir et il me demandait si j'allais bien. Il me disait cela car il craignait très certainement que ma fatigue se soit empiré. Je lui répondis alors que j'avais un énorme mal de tête. Il eu alors un étrange sourire puis il sorti pour aller chercher sans aucun doute de quoi me rétablirent. Il m'apportait une petite collation et un breuvage verdâtre qui sentait la mûre. Je bus d'un trait toute la boisson qu'il m'avait servi délicatement à mon chevet et je commençais finalement à me sentir mieux quelques petites minutes plus tard. Je sortais ensuite de mon lit afin d'étudier comme me l'avaient ordonnés mes parents. Un année passait sans que j'utilise de magie et j'étais toujours aussi fatigué le matin alors que le soir lorsque je me couchais j'étais en pleine forme. Geoffrey avait même dû prendre l'habitude de m'apportait sa boisson miracle lors de mon réveil pour que je puisse être en forme la journée. Je disais donc qu'un an plus tard, un nouvel imprévue m'arrivais sans même que je puisse y faire quoi que ce soit. J'étais alors à table en train de me faire sermonné comme d'habitude par ma mère parce que je n'étudiais pas assez lorsqu'une petite voix se fit entendre de moi seule. Elle disait sur un ton qui m'avait fait frissonné tellement elle était emplie de méchanceté, de cruauté et de sadisme :

*Tue-les absolument tous dans d'atroce souffrance tous ces misérables incapables. Il le faut absolument. Ku ku ku.*

Ce faisant, cette petite voix que je soupçonnais être à l'intérieur de moi puisque les autres ne l'avaient pas entendu m'envoyait des images qui m'horrifièrent. Dans l'une d'elle, j'étais en face de Geoffrey qui était attaché et ne pouvait donc pas bouger et je m'amusais avec un morceau de verre à lui faire d'infimes mais douloureuses entrailles dans son corps et à ricanais pendant qu'il hurlait de souffrance. Le nombre de coup étaient exceptionnellement élevé et selon moi c'était totalement impossible d'en faire autant. Six-cent-quatre-vingt-dix infimes coupures faites un peu partout sur son corps avant qu'il ne décède finalement devant moi avec un rictus de douleur et moi qui ricanais de bonheur et me sentait dans une telle extase devant ce morbide spectacle. J'en étais totalement écoeuré et je me sentais pris d'une envie de régurgité ce que je venais d'avaler. Peu après cet étrange et inexplicable évènement, un autre accident se produisit. J'étais sur le balcon de ma chambre en train de regarder Geoffrey arroser ses roses d'un noir couleur de nuit et ses roses couleur rouge sang. Je ne m'étais jamais posé la question de savoir comment il avait pu obtenir des roses de cette couleur, car je n'en avais jamais vu dans la nature ou bien autre part. Je voulue donc naïvement aller lui demander le comment du pourquoi, mais dans ma précipitation je fis tomber le rebord en bois et moi avec. Nous fûmes précipités dans le vide, heureusement qu'un buisson à épine vint à amortir ma chute. Le rebord de bois s'était mis de telle sorte que l'on ne pouvait le voir sauf en se glissant dans le buisson. Le majordome me fis promptement sortir de là et mes parents accoururent vers moi. Ils étaient bizarrement inquiets. Je relevais la tête pour pouvoir regarder les dégâts que j'avais pu causer. Mais à mon grand étonnement la barrière était toujours là. Pris de panique je regardais le buisson et je vis celle qui m'avait précipité dans le vide. Comment cela était-il possible ? Il ne pouvait certes pas y avoir deux rebords. Alors comment celui qui se trouvait là haut s'y trouvait-il ? Mes parents mes regardèrent avec un yeux mauvais. Ils décidèrent toutefois de confier ma punition à Geoffrey qui leur remettrait un compte rendu complet du châtiment qu'il se devait de m'infliger puisqu'ils étaient eux-mêmes très occupé par d'autres tâches qu'ils considéraient comme bien plus urgentes. Je ne pouvais tout simplement pas comprendre comment la santé de leur propre fille pouvait être considérée comme une question secondaire et cela me révoltait profondément, mais je ne pouvais malheureusement rien faire.

Je vis que Geoffrey se rapprochait lentement de moi, mais je n'esquissais pas un geste quelconque pour fuir, car je savais pertinemment bien que ce qu'il me réservait était infiniment plus doux et peu douloureux en comparaison de ce qu'aurait pu me faire mes parents. Il me demandait de le suivre d'une voix douce tenté de mystère. Je ne savais pas du tout ce qu'il me réservait, mais tout à coup, je venais de perdre mon assurance sur le traitement qu'il allait très certainement me faire. Je le suivi et ses pas me firent aller à l'espace de jardin que mes parents lui avaient gracieusement offert pour ses inestimables services. C'était une simple allée avec des paver et aussi avec les rosier à la couleur si singulière que j'avais vu sur le balcon et que j'avais voulu absolument voir. Il vint se mettre à genoux devant moi et il me dit d'une voix très étrange tellement faible, presque un murmure :

-Bravo, vous venez de réutiliser de la magie, Lady Ariya. Réussir à embrumé ainsi l'esprit de vos parents doit très certainement vous avoir exceptionnellement épuisé je suppose. Maintenant il est grand temps que je vous donne une petite punition à la hauteur de votre chute. J'ose espéré que vous n'y verrez aucune malice, mais si je ne le fais pas vous risquer fort de le regretter amèrement. Maintenant suivez-moi immédiatement pour le lieu où vous aurez à subir votre petit châtiment. Oh ! mais ne vous inquiétez surtout pas. Je serai très raisonnable dans ce que je ferai.

Je le suivais donc aussi rapidement que me le permettaient mes petites jambes de gamine de quatre ans choqué par soudaine et vertigineuse chute il y a peu. Nous allâmes vers sa chambre où il me fit m'asseoir sur son lit. Il s'approchait ensuite d'une armoire et il l'ouvrit élégamment comme il en avait très certainement depuis longtemps pris l'habitude. Dans l'armoire se trouvait un très grand nombre de livres et de documents. Je reconnue certain d'entre eux car j'avais dû les lires et je su alors immédiatement ce qu'il voulait m'infliger comme punition. Lire un grand nombre de document dans un temps qui serait très certainement cours et ensuite il me poserait pleins de questions. Ce serait donc un supplice où il faudrait que ma mémoire enregistre tout ce que je lirai dans un laps de temps très court. Et le tout sans avoir mal à la tête. Mais c'était carrément impossible vu le nombre et il semblait y prendre plaisir au vu du fugace sourire qui venait de fendre son visage. Et ce que je redoutais arriva finalement, il fallait véritablement faire ce que j'avais craint lorsque j'avais vu Geoffrey ouvrir l'armoire. J'ai dû donc lire trois imposant traité pendant six heures pendant que lui m'observait avec un petit sourire ironique aux lèvres et qu'il prenait tous son temps pour écrire la lettre destinée à décrire l'horreur du châtiment que ce maudit majordome avait eu l'impudence de m'imposer. Je fis toutefois rapidement partir cette pensée importune en pensant à ce que mes parents auraient pu me réserver. Toute ma journée venait de passer son mon nez à cause d'une bête bêtise. Je rageais intérieurement, mais à l'extérieur rien ne trahissait un quelconque sentiment comme d'habitude.

Chapitre 3/La catastrophe.

Trois années passèrent avec de temps et entre autre chose encore des petits objets qui se trouvaient à deux endroits en même temps. J'avais réussi à élucidé ce mystère un jour alors que je visualisais le vase que j'avais fait tomber de l'escalier il y a longtemps, il se trouvait dans ma chambre inexplicablement en face de moi. Je tentais alors de le saisir mais il n'y avait rien et je sentis mes forces décroitre très rapidement. J'avais aussi réussi à savoir le nom de la petite voix, elle disait s'appeler Chaos, un bien étrange prénom. C'est pourquoi j'avais décidé de l'appeler Cyntia. Pour en revenir à mes sept ans, il y avait eu un incroyable séisme et ceux d'Irianeth eurent très certainement une joie incommensurable d'apprendre qu'il pouvait prendre des nouveaux territoires sans aucune défense solide qui pourraient leur résister pour pouvoir se rapprocher d'Emeraude et de son pathétique ordre de chevalerie verte comme l'appeler ma petite voix intérieure. Mon physique fessait ma fierté. Entre mes yeux d'un noir d'encre profond ou bien mes cheveux chatoyants. J'avais tous pour plaire. Tous les cadeaux dans ma chambre telle une peluche en forme de dragon m'avait été offerte par Geoffrey.

Lors du tremblement de terre les maisons craquairent et elles subirent de sérieux dommages un peu partout. Par chance Geoffrey aidé des secours réussirent à la restaurer en partis. Comme nous ne possédions pas de grande chambre d'hôte nous ne pûmes accueillir des réfugiés sous notre toit au grand bonheur de mes parents qui ne voulaient pour rien au monde faire disparaitre la tranquillité à laquelle ils tenaient tant. Malheureusement peu de temps après le terrain commençait à prendre de la bande, menacent par la même occasion la stabilité de mon chez moi. Nous décidâmes donc d'aller ailleurs. Ce fur le royaume de Turquoise qui fut choisi après un rapide débat. Nous y allâmes donc et nous dûmes construire une nouvelle maison aidée par les superstitieux habitants de Turquoise. C'était une maison assez simple si on la comparait avec l'ancienne. Elle était totalement en pierre avec un toit de chaume. Elle avait sept pièces et un couloir centrale. On entrait dans le hall duquel partait ensuite le couloir. Sur la droite du couloir lorsque l'on est en face de la porte d'entrée se trouvait par ordre d'apparition la cuisine suivie de la salle à manger puis enfin ma chambre. De l'autre côté se trouvait la chambre pour des invités, ensuite la chambre de mes parents et pour finir la chambre de M.Geoffrey, notre inestimable et irrenplacable majordome.

Toute cette tranquillité dura presque trois ans lorsqu'un terrible évènement arriva. Nous nous promenions mes parents et moi en compagnie de Geoffrey qui était armés d'un long sabre. Moi-même j'étais équipé de deux dague pour pouvoir ne serait-ce que piètrement me défendre contre une quelconque menace. C'était M.Geoffrey lui-même qui m'avait donné ces armes et qui m'avait appris à m'en servir. Le tout au nez et à la barbe de mes propres parents comme le disait un certain proverbe. Nous étions arrivés sans le savoir à la frontière entre Turquoise et l'ancien royaume de Fal. Mal nous en pris, car une vingtaine d'hommes-insectes patrouillé dans le secteur et ils nous attaquèrent prestement. Geoffrey sortis alors son arme et il nous dit qu'il nous couvrait. Six de ces stupides insecte tombèrent sous les coups intelligemment placées de notre majordome. Mais il dû se retirait très rapidement pour éviter d'être finalement submergé par le nombre important d'insecte. Ceci ne plaisait pas à ma mère qui chargea alors seule dans les lignes ennemies et elle se fit promptement tué et sauvagement piétinait par nos assaillants. J'aurai dû me sentir révoltait, mais au contraire j'étais heureux, mais aussi malheureux, car je n'avais pus la tuer lentement moi-même. Etrange pensée, sauf lorsque l'on sait que c'était mon petit démon intérieur qui prenait le pas sur moi. La possession se fit toutefois de courtes durées puisque je sentais que quelqu'un venait de me prendre comme un vulgaire sac de blé et que celui-ci courrait. Je regardais alors qui cela pouvait donc bien être et je ne fus nullement surprise de voir Geoffrey. Une voix emplie de douleur vint titiller mes oreilles. Elle provenait de mon père qui semblait être resté sur place. Mon majordome courrait aussi vite que le permettait ses jambes, mais il dû tout de même s'arrêter d'épuisement. Les hommes-insectes étaient à notre poursuite et nous ne pouvions guère espérer avoir une chance de leur échapper. Nous décidâmes alors d'un hochement de tête de combattre pour notre survit respective. Nos poursuivants nous rattrapèrent très vite et nous nous jetâmes dans la mêlé. J'aurais très certainement dû avoir peur, mais à quoi bon prendre peur. Cela ne ferait que de me déstabilisais et de me faire faire une erreur qui pourrait bien m'être fatale. Je vis du coin de l'oeil Geoffrey se faire transpercé de part-en-part et le petit démon intérieur profita de cette occasion en or pour se faire une place définitive en moi et pouvoir véritablement intervenir.

Enfin je pouvais vivre comme je l'avais toujours espéré, mais si je voulais survivre il faudrait que je fasse du dégât. Je décidais alors d'attaquer les ennemis en faces de moi. Tout naturellement une aura bleuté se formais au creux de mes mains, une chaude et une froide. Je les relachaient toutes les deux et le résultat fut impressionnant. Certain insecte était brûlé, mais ceux touché par la flamme froide ralentirent leur mouvement comme congeler. Ce qui était vrai dans un certain sens puisque ce pouvoir semblait être l'inverse des rayons de feu des chevaliers. Je n'avais toutefois pas eu le temps d'y penser plus puisqu'un violant coup sur mon dos me fis m'évanouir. Voilà que je n'avais pas été assez prudente. J'aurais mieux fait de regarder mes arrières plutôt que de savoir comment fonctionnait ce pouvoir qui était tout naturellement venue à moi. Avant de sombre dans l'inconscience j'avais eu le temps de pensée à une dernière chose. J'avais déjà vu ce vieil homme autre part que quotidiennement, j'en aurais mis ma main à couper. Etait-ce lui qui...

Je me réveillais alors. Je me levais difficilement puisque le sol sembler tanguer. J'étais sur un navire d'Irianeth en partance pour ce continent. Nous venions à peine de quitter un port, je décidais donc d'aller voir une dernière fois cette terre et je vis quelque chose qui me surpris. C'était flou, mais une peau grise avec une tenue noire comme celle-là, je ne connaissais qu'une seule et unique personne qui avait ces traits. C'était Geoffrey, pourtant il s'était fait tué et piétinait sauvagement par les guerriers-insecte alors comment ? Je le vit faire une courbette puis disparaître comme par enchantement, à moins que ce ne soit de la magie justement. De la magie ? Une pensée se fit soudainement dans mon esprit. Il savait pour ma magie et chaque matin j'était fatiguer. A cette simple pensée, toutes mon humanité me quittait définitivement. Je ne resentirais désormais qu'un fragment des véritables émotions. Ce navire m'emmenais vers Irianeth où je fus mise dans une alvéole après qu'un grotesque sorcier à plume m'avais examiné et déclaré apte à être élève d'Irianeth. Une fois dans l'alvéole, une ombre familière attira mon attention juste avant que je ne sombre dans le néant. Je voyais mes souvenirs disparaitre un-à-un sauf mon nom et Geoffrey et son apparence, puis plus rien.